Le teck se dresse comme un gardien du jardin mythique d’Iran — un lieu où la terre et le ciel se rejoignent dans le silence.
Chez Rûmi, le jardin est un seuil : le visible reflète l’invisible, et la nature devient un livre ouvert sur le divin.
Ses racines plongent dans la mémoire du monde, ses branches offrent refuge aux oiseaux — messagers du souffle. Il parle de la réflexion tranquille, de la force douce qui guide sans contraindre.
بشنو از رومی — Beshno az Rumi
« Ce monde est un jardin, mais son parfum vient d’ailleurs.. »